Assurance vie : comment bien choisir
La question peut paraître épineuse, mais souscrire une police d’assurance-vie qui couvre l’éventualité la plus malheureuse (le décès de l’assuré) représente une autre forme de protection pour les proches. Le contrat temporaire « cas de décès » entre dans le champ de l’assurance-vie : la société, en échange du paiement de la prime, s’engage à verser un capital aux bénéficiaires indiqués dans le contrat, en cas de décès de l’assuré, à condition qu’il survienne dans un certain laps de temps.
Quand est-il opportun de la signer ?
Elle convient particulièrement à un chef de famille encore jeune qui n’a pas encore acquis le droit à une pension de survie ou qui sait que, de toute façon, ce montant ne serait pas suffisant pour lui garantir une certaine tranquillité d’esprit économique. Consultez un site d’assurance pour plus d’explications.
Quels besoins couvrent-elles ?
La police d’assurance-vie vous défend si :
Vous souhaitez mettre à disposition pour fournir aux bénéficiaires une somme d’argent pour répondre aux besoins qui pourraient naître du fait de votre décès ;
Vous voulez être sûr que vos enfants ont de quoi vivre jusqu’à l’accession à l’indépendance économique ;
Vous voulez garantir à vos proches une somme qui leur permette de payer une hypothèque, un contrat d’achat d’une maison ;
Vous voulez assurer la stabilité de votre activité qui dépend principalement de votre capacité de travail.
Capital constant ou variable
En fonction des besoins de protection que vous entendez satisfaire, une assurance temporaire peut être prévue pour un capital constant ou pour un capital variable (croissant ou décroissant).
Dans le premier cas, le capital est établi sur une base fixe pour toute la durée du contrat. Dans le second, cependant, le capital convenu augmente chaque année d’un certain pourcentage (par exemple 10 % du montant initial) ou diminue à partir de la deuxième année d’assurance.
Un capital croissant permet de protéger le capital assuré des effets négatifs de l’inflation, tandis que le capital décroissant convient mieux à ceux qui ont contracté un crédit immobilier : le montant nécessaire pour couvrir l’hypothèque diminue avec le temps, tout comme le plan d’amortissement.